- Le traitement médiatique autour des joueurs et des joueuses. En NBA, quand JR Smith balance sa soupe dans les vestiaires, tous les médias ont les détails dans les 12 heures qui suivent : température de l’eau, saveur de la soupe, tout se sait et est relayé ! En WNBA, si une des meilleurs joueuses de la ligue quitte la Wubble en plein milieu de la saison (Coucou Brittney Griner 👋) pour raisons personnelles, aucun média ne laisse filtrer d’infos. Raison personnelle ? Ok, que tout aille bien pour elle et à la prochaine. Bref, quand on est habitué au déballage de la NBA, l’archi discrétion de son pendant féminin peut étonner.
- Les analystes. Nabil Djellit n’écrit jamais sur la WNBA : nous ne savons donc toujours pas qui est la GOAT offensive de la WNBA.
- Les raisons de ne pas jouer. Soyons clair, il y aura peu de saison blanche en NBA pour cause de grossesse. Cela peut arriver en WNBA ! Pour le reste, le load management n’est pratiqué que par une joueuse de 40 ans dont les genoux sont en vrac mais qui illumine les parquets de sa simple présence et qui donc le mérite bien.
- Les trolls. En WNBA, ils tournent en boucle sur des questions de femme à la cuisine et de fabrication de sandwiches. Et on ne parle pas du Taco Tuesday de LeBron. C’est très très très très répétitif. Le troll NBA est plus créatif !
- James Dolan. En WNBA, on a réussi à s’en débarrasser ! Il aura quand même fallu qu’il envoie sa franchise du New York Liberty jouer dans un gymnase à 1h30 de Manhattan pour y arriver.
- Minnesota, Seattle et Houston. En WNBA, ces 3 villes comptabilisent 12 titres en 24 ans. En NBA, c’est 3 titres en 42 ans. Pas la même vibe.
- Derek Fisher. En WNBA, il est considéré comme un bon coach. Non, je déconne hein…
- Le All Star Game. Au All-Star Weekend WNBA, pas de concours de dunk (“lEs FeMmEs sAvEnT pAs DuNkEr”) mais le concours à 3 points a accouché d’un record détenu par Allie Quigley, toujours inégalé en NBA.
- Le débat sur le/la GOAT. On est parfois passé à 2 doigts de crimes d’honneur quand des fans de NBA discutent de celui qu’ils considèrent comme le GOAT. Le débat est plus ouvert et moins binaire en WNBA.
- Bill Laimbeer 👇
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